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il y a 13 ans
ESCAPADE ANGLAISE
Je m'étais accordé quelques jours de repos à Londres. Durant les derniers mois, je n'avais pu penser à autres choses qu'à mes recherches pour mon mémoire de master. La soutenance passée, le diplôme en poche, je me sentais léger pour déambuler dans cette ville inconnue.
Un programme tout à fait classique m'attendait en ce début de mois de juillet. La cloche de Big Ben avait retentit dans mes oreilles, j'avais parcouru l'histoire de l'Angleterre au travers du capharnaüm de l'abbaye de Westminster. Les horses guard avaient paradé pour la relève de la garde.
Installé dans St James Park pour déjeuner, le doux soleil du climat océanique caressait légèrement ma peau pas encore prête à affronter les durs rayons des plages françaises. Je remontais alors triomphalement The Mall pour atteindre la National Gallery of London. Je déambulais dans les vastes salles de ce magnifique musée lorsque je tombais en admiration devant deux chefs d'oeuvres l'un admirant l'autre.
Au mur l'un des quatre tableaux de l'allégorie de l'amour peint par Véronèse, devant fasciné par la peinture et plus précisément le nez collé sur l'entrejambe du modèle, une magnifique femme raffiné et de grande classe. Mon objectif de visiteur perdu de son ardeur, ma volonté ne put lutter contre l'envie d'accompagner du regard cette beauté qu'aucun tableau ne pouvait égaler à mes yeux.
Tel un détective, je filais discrètement ce mirage. De nouveau, elle fixa son attention sur l'anatomie d'un modèle. Levant les yeux, j'aperçus la Vénus à la toilette de Vélasquez et saisissant l'occasion je pris mon courage à deux mains pour aborder la belle: « Devant tant de grâce je ne sais quels modèles regarder »
Deux yeux verts limpides se posèrent sur moi d'abord excédés d'être ainsi détournés de leur cible, puis adoucis par mon sourire de bienheureux qui fit exploser de rire la belle. Elle ajouta avec un accent so british: « Tous les mêmes ces français! Mais vous avez de la chance j'aime bien cette impertinence, nos hommes sont trop respectueux et je le regrette parfois. Et votre joli minois me plaît, voulez-vous vous joindre à moi pour la suite de la visite. Mais je vous préviens elle est très sélective, il n'y a que les nus féminins qui m'attirent, c'est mon péché mignon c'est comme cela que vous dites en français. Je les scrute en détail, je suis fascinée par la puissance des coups de pinceaux de ces peintres pour transcrire leur passion du corps féminin. »
« Ce n'est pas pour me déplaire, les courbes féminines qu'elles soient de chair ou de toiles me transportent également et vous me donnez la chance de pouvoir lier les deux que de demander de plus ».
Elle me prit par le bas et colla sa hanche à la mienne, je me liquéfiais sur place, sur un nuage le reste de la visite je me laissais guider par mon ange. Pour que ce moment hors du temps ne cesse, à la sortie en gentleman, je lui proposais pour la remercier de lui offrir un verre de vin ou une pinte de bière.
Elle accepta d'emblée et me proposa une de ses adresses favorites. Dans la rue son déhanchement s'amplifia, ses escarpins étaient démesurés, j'en eu des frissons et je ne pus m'empêcher de lui dire: « Je vais peut être passer pour un goujat mais votre démarche chaloupée m'est insupportable et me donne des idées, j'ai envie de vous toucher. » Sans retenue elle me répondit: « Mais faites mon ami, il n'est pas si courant qu'un jeune homme ose me désirer de la sorte, c'est plutôt plaisant. »
Ma main alla à la rencontre de sa cuisse soyeuse, irrésistiblement attirée par l'entrejambe. Arrivé à la lisière du bas, je découvris la chaleur de sa peau. Mon doigt poursuivit son introspection et découvrit ses poils pubiens déjà humides de désir. Elle lâcha un petit cri de surprise.
Le doute m'envahit, l'aurais-je offusquée? Pour rattraper le coup je tentai l'humour: « Vous n'avez rien oublié en vous habillant ce matin? » Et de nouveau elle partit dans un grand éclat de rires et me confia: « Sachez jeune homme, que je n'enfile jamais de culotte, j'aime sentir la caresse du vent ou le mordant du froid sur mes lèvres. Les seules sous vêtements que vous trouverez sur moi sont un bustier et des porte-jarretelles, vu! » et comme pour me le prouver elle attrapa mon autre main et se la plaqua sur le sein.
Son audace me paralysa et un instant figé j'eus le sentiment de ne pas être à la hauteur de cette femme fatale. Elle me sortit de ma torpeur en me disant: « Toutes ces émotions m'ont donnée soif, vous me l'offrez ou pas cette pinte. » Nous nous retrouvâmes dans la rue à siroter notre bière, sa descente me surprit.
Je n'imaginais pas une femme de cette classe avalant de la sorte une boisson si populaire. Alors que j'eus du mal à venir à bout de mon premier demi-litre elle ingurgita deux verres. Je doutai de nouveau sur mes capacités à la satisfaire, elle semblait jouir de la vie sans retenue et sans complexe.
Elle me demanda de la raccompagner en taxi, installés à l'arrière, elle me supplia de reprendre les caresses qui l'avaient électrisée. L'alcool aidant, elle remonta sa jupe et écarta les jambes sans pudeur. Le chauffeur m'en rata rien. Son corps réagissait vivement à mes doigts, au bout de quelques temps je ne pus m'empêcher de plonger la tête entre ses cuisses, je sentis sa jouissance venir sous mes coups de langue, elle laissa échapper un long râle de plaisir.
Le temps de recouvrer ses esprits, nous arrivions dans le quartier hupper de Hyde Park. Elle me dit: « Maintenant que nous sommes intimes, le moment est peut être venu de me présenter: Dorothy White, ravi de vous avoir croisé », je bégayais la bouche encore humide « Vincent Durant ».
Et là, je ne sus si ma technique était au point ou si elle avait déjà l'idée en tête mais elle me proposa de dîner chez elle. J'en fus flatté et toujours aussi impressionné. Bon prince, je réglai la course. La demeure victorienne immense, une jeune servante vint nous ouvrir et prit nos vestes. Le salon très luxueux, elle pria la bonne de nous amener un apéritif et sans plus de préalable et sans même m'inviter à m'asseoir mon hôtesse me dégrafa le pantalon et sortit mon sexe gonflé.
D'une main, elle le caressa et de l'autre empoigna mes testicules, les malaxa. Elle pointa la langue pour récupérer une perle de liquide séminale à l'entrée du méat. Son whisky arriva, elle y trempa mon gland et lécha méthodiquement. Elle reconduisit l'opération à plusieurs reprises. Mon sexe était à son apogée. Je compris alors que sa passion n'était pas que pour les sexes féminins peints, je vous l'assure, son application à engloutir sans relâche et sans faiblir ma queue révéla son amour du sexe masculin en chair.
Elle leva la main et pointa le doigt en l'air, la bonne visiblement habituée des excentricités de sa patronne comprit tout de suite. Elle s'approcha et me déshabilla. En Angleterre, comment aurais-je pu penser me retrouver entre les mains de deux femmes pour mon plus grand plaisir. Tous les stéréotypes les qualifiaient de coincer et de prude, je me rendais à l'évidence de la bêtise de ces à priori.
Elle ordonna à son employée de me donner sa culotte à renifler. Elle souhaitait être maître de la situation et diriger les opérations. Je m'y prêtais de bonne grâce. Une culotte blanche raffinée prit vie dans les mains de la bonne et se colla à mes narines, je m'enivrai du musc d'une journée de travail tandis que la maîtresse de maison reprenait avec énergie et expertise sa fellation.
Je comprenais la métaphore gorge profonde entre ses lèvres, j'avais par hasard rencontré une pro du sexe et allais m'en souvenir toute ma vie. Au prix de longues respirations et de contrôle, je parvins à ne pas l'asperger de ma semence, un exploit! Mais surtout parce qu'elle abandonna l'objet pour me gratifier d'un effeuillage. Debout de dos, elle m'ordonna de baisser la fermeture à glissière de sa robe. Elle dégagea de la bretelle, une épaule puis l'autre. La robe, comme au cinéma, tomba à ses pieds.
Un bustier de soie noire rehaussant avantageusement sa poitrine sans en dissimuler les globes et les mamelons pointés m'apparut. D'un demi-tour elle me présenta son et féline, vint frotter ses fesses à mon sexe. Un bruit de porte claqua dans le vestibule, elle s'écria: « Sky, my husband! ». Dans la foulée, elle laissa éclater un rire franc, commanda à la bonne un autre verre. Puis en enfilant un déshabillé transparent, elle s'éclipsa à grande enjambée en direction de son mari.
Dépité et éberlué, j'en perdis mes moyens, mon pénis débanda. Je me retrouvai seul dans le salon cosy à demi nu, diverses idées traversèrent mon esprit quant à la réaction d'un mari jaloux. J'étais penaud ne trouvant pas d'issue, lorsque je la vit revenir rayonnante, et dit: « Darling, voici le petit frenchy effronté rencontré à la National Gallery. »
Un homme distingué d'une cinquantaine d'année,le cheveu poivre et sel, paré d'un costume trois pièces très strict transpirant la finance s'approchait. Il me tendit la main et ajouta: « Enchanté, c'est bien ainsi que l'on se salue en France ». A quoi, faisait il référence? J'étais désorienté .Et sans plus protocole, il prit place sur le sofa face à moi. La jeune servante accourue, un whisky à la main. Ma belle anglaise s'agenouilla à mes pieds et s'appliqua à me redonner de la consistance.
La frayeur passée, je perçus le fonctionnement de ce couple et mon inconscient donna l'ordre à mon sexe de rebander. Mon membre gonfla dans sa bouche, sous l'action de ses doigts sur ma hampe, au maximum de ses possibilités. Ses mains se frayèrent un passage pour se plaquer sur mes fesses et imprimèrent un mouvement de basculement à mon bassin. Sans bouger la tête, elle avalait l'objet.
Son mari était un spectateur attentif. Il semblait apprécier ce spectacle improvisé. Au bord de l'explosion, je réussis à me contenir de justesse à deux reprises. Elle le compris et me délaissa quelques secondes le temps de se positionner à quatre pattes sur le sofa. Son époux, avec un flegme britannique, d'une pression sur la tête enfonça sa queue profondément dans la gorge de Dorothy. Ses fesses impudiques étaient orientées vers moi, il émergeait de son oeillet un rosebud orné d'un saphir.
Quel homme n'a pas rêvé d'une telle scène! Sous le charme je sentis, par derrière, les mains expertes de la bonne m'enfiler un préservatif. Le message était clair. Mon hôtesse fit un petit signe pour que j'approche. Elle tenailla mon pénis et le guida dans sa fente. La servante me poussa en avant imprimant l'oscillation. A chaque coup de boutoir, elle avalait jusqu'à la garde et le bijoux frottait mon pubis et laissait échapper un râle étouffé. Elle eut raison de nous, elle avala jusqu'à la dernière goutte.
La jeune soubrette annonça: « Madame, Monsieur le dîner est servie ». J'en fus ravi car je commençais à me dire que je ne résisterais pas à l'appétit sexuel de cette femme, un temps de repos m'était nécessaire. Le couple était charmant, distingué et très cultivé. Je passais une soirée merveilleuse. Le repas se terminait et je me préparais à regagner heureux mon auberge de jeunesse.
Je n'imaginais pas à cet instant que nous en étions qu'au début. Le café nous fut servi au salon, je me préparais à prendre congé lorsqu'elle sortit d'un tiroir un énorme gode noir en latex me priant de rester. Son mari me lança un clin d'oeil amusé haussant les épaules signifiant « Eh oui, elle est insatiable mais je l'aime, et vous n'avez pas le choix, elle a encore besoin de vous ».
Le spectacle vivant n'était pas terminé, elle fixa par la ventouse sur la table du salon. Nous sirotions notre café assis côte à côte son mari et moi, nous délectant de l'introduction lascive du phallus d'ébène doux et énorme dans ses chairs. Les fesses collées à l'autel de son intromission, l'objet juste visible, son corps s'exaltait, en transe.
Elle s'inclina en avant et extirpa le bijou que j'avais oublié mais certainement pas elle. Au passage du renflement, elle lâcha un petit cri et se releva laissant béant ses orifices. Sa porte de l'enfer était prête à recueillir le bâton du diable. La gouvernante à l'affût des moindres désirs de ses maîtres, déposa une noix de lubrifiant sur le gland factice et une à l'entrée de l'anus.
Assise de nouveau l'olisbos dans les entrailles, elle reprit ses ondulations, s'astiquant le bourgeon. Aucun de nous deux ne put rester insensible à cette danse de sabbat , nos pénis respectifs se gorgèrent de sang. La cérémonie dura, son regard était ailleurs. Le tintement de la tasse que son mari venait de déposer, la sortit de son isolement. Ses yeux se braquèrent aussitôt sur les deux membres dressés pour elle.
Délaissant l'inanimé, à califourchon, elle s'embrocha par la chatte béante sur son cher et tendre. De nouveau, je sentis les doigts de la petite bonne m'enfiler une capote anglaise. Ma bourgeoise londonienne m'agrippa le bras pour me positionner derrière elle. Je compris le message et sans un mot investit son ?illet.
Emplie de deux belles queues, elle se déchaînait. A travers la fine paroi qui nous séparait, je perçus les soubresauts annonciateurs de l'imminence de son éjaculation. Il se répandit en elle et il stoppa l'action. Elle se dégagea. Le sperme coulait le long de sa cuisse. Je restais le sexe dressé dans le vide, le temps que son homme l'embrasse et prenne congé, suivi de près par la bonne. Ma bite se dégonfla laissant tomber le préservatif à terre.
Main dans la main, elle m'attira dans la salle de bain. Elle m'expliqua qu'avec son mari depuis de nombreuses années, ils pratiquent les chambres séparées et la petite tient compagnie à son époux. Elle garnissait son lit d'amant de passage et parfois du jardinier pour jouer à Lady Chatterley. Une douche chaude nous dynamisa. Je m'imaginais dans son lit à baiser encore et encore .
Lorsqu'elle me dit qu'il n'était que vingt deux heures et que nous étions jeudi, la soirée commençait à peine selon elle. Elle me dit: « Je vais te trouver un smoking dans les armoires de mon chéri et moi passer une robe de soir. Nous allons à une fête. »
Elle se para d'une robe fourreau très près du corps avec un dos à la limite de la décence et nous voilà dans une jaguar cabriolet Angleterre oblige.
En chemin, elle m'expliqua: « nous nous rendons chez la femme d'un riche industrielle. Son mari s'absente pour contrôler la fabrication de sa production en Indes, deux soirs par semaine, la mondialisation a parfois du bon. Alors, pour pallier à son oisiveté et garantir son train de vie (elle pense qu'il ne l'entretient pas suffisamment), elle organise des bacchanales avec tout le gratin londonien. C'est une très bonne amie, nous avons étudié ensemble au collège. Ses soirées sont très à la mode, c'est une véritable nymphomane et a des atouts. D'une pierre deux coups! Elle prend du plaisir et gagne de l'argent. Je me demandais qui de nous deux était la plus obsédée avant qu'elle ne me raconte une de ses nuits. Elle avait gagné 75 000 pounds à raison de 3000 pounds par homme soit vingt cinq hommes qu'elle avait assouvies pendant la soirée. Elle m'avait assurée que tous étaient sortis secs et épuisés alors qu'elle en voulait encore. D'ailleurs rare sont les hommes voire les femmes de la haute, de la classe dirigeante qui n'est pas connu ses faveurs. Elle est très respectée car elle possède un pouvoir: les confidences sur l'oreiller.
A une trentaine de kilomètres de Londres, nous arrivâmes à l'entrée d'un immense parc préservé par un gardien. Il s'approcha de la voiture et reconnut sa conductrice. Il lui souhaita la bienvenue d'un large sourire entendu, elle lui glissa 1000 pounds dans le creux de la main.
C'était le sésame. La porte en fer forgé s'ouvrit sur le jardin arboré. Au loin les lueurs d'un manoir victorien scintillaient. Nous roulions au pas, l'allée me parut interminable , Dorothy en profita pour m'expliquer: « pour participer une femme seule doit débourser 500 pounds, un couple 1000, et un homme seul 3000. Prix de la tranquillité et de l'assurance de rester entre gens de bonne compagnie... »
Un voiturier, sur un énorme perron, vint à notre rencontre pour nous dérouler le tapis et rouge. Une exclamation nous cueilla à peine le seuil du hall franchi: « Oh! Dorothy, ma chérie, il y a bien longtemps que je ne t'avais vue à mes soirées. Mais dis moi petite cachottière, quel est ce beau jeune homme. Est ce lui qui t'as accaparée durant ces longues semaines. » la femme qui s'exprime ressemble à une star hollywoodienne, chevelure blondes, des seins énormes mis en valeur par un décolleté à paillettes.
Sa main glissa sur la hanche de son amie et se colla pour l'embrasser sur la bouche. Dorothy lui expliqua notre rencontre fortuite de l'après midi et lui dit: « Je voulais lui faire découvrir les frasques d'albion, lui montrer que les français non pas le monopole des plaisirs. »
Elle lui rétorqua: « Nous allons lui montrer » Des doigts agrippèrent mon bras pour m'entraîner dans un tourbillon que je ne suis pas prêt d'oublier. La première pièce, un salon où grouillaient des hommes distingués accompagnés de femmes sublimes, à cette heure là, je pouvais encore penser me trouver dans un fête mondaine, tous semblaient très sages.
Dans une seconde pièce, une bibliothèque avec billard, j'aperçus des jambes, quelques robes étaient retroussées, des couples s'embrassaient mais rien d'exceptionnel. Des gémissements attirèrent mon attention, dans l'embrasure d'une porte, je distinguais un écran sur lequel était diffusé un porno-chic. Mon amante se décolla du trio que nous formions pour saluer un invité, m'abandonnant aux bras de l'hôtesse qui me souffla à l'oreille: « Jeune homme, votre accompagnatrice va nous mettre de l'ambiance!
Heureusement qu'elle est arrivée notre soirée était bien morne... » Effectivement après avoir honorer d'autres convives et bu un verre de champagne. Ma maîtresse grimpa sur le piano au centre de la pièce, et débuta une danse lascive. La main d'une délicieuse maîtresse de maison se posa sur mon sexe et commença à le caresser.
Dorothy entamait un strip-tease langoureux, la température monta dans la pièce, à chaque degré, l'incursion et les frictions dans mon caleçon. Son amie Londonienne était définitivement nue libre de tout vêtement s'intensifiaient. Jambes largement écartées, elle se caressait impudique, mimant de chaud coït, se pénétrant de plusieurs doigts. Un nombre incalculable de mains s'approchait pour l'effleurer, la toucher.
Je compris que je ne la reverrais plus avant notre départ. Mais j'étais en de bonnes mains, la sculpturale blonde était à genoux à mes pieds à dégrafer mon pantalon. Mon exotisme devait jouer à plein car pour la deuxième fois dans la même journée, une splendide créature jetait son dévolu sur moi. Jusqu'à tard dans la nuit, elle me garda à ses côtés comme si nous formions un vieux couple libertin, je veillais sur elle.
Nous partagions tout. Je pus mesurer, de visu, sa belle nature généreuse. Elle ne trichait pas et se donnait sans retenue. Sa vénalité disparaissait dans l'action. Elle sollicita ou consentit une bonne vingtaine d'assaut, des doubles, des triples... toujours avec un égal enthousiasme et un égal plaisir.
Le hasard voulut qu'elles se retrouvent face à face avec Dorothy pour une dernière cavalcade. Elles s'embrassèrent, se caressèrent, imperturbable malgré les assauts des deux seuls hommes encore en état de bander. A quatre heures trente, nous prîmes congé de notre amphitryon, la remercia chaleureusement de son accueil. Le voyage fut plus calme, nous restâmes muets.
Elle m'ouvrit sous lit, cette fois pour dormir, je m'y écroulais la tête posée sur son sein. A sept heures, elle se leva fraîche et disponible pour accompagner son mari durant le petit déjeuner comme une femme docile et amoureuse. Personnellement, j'émergeais péniblement à onze heures. Sans aucun regret, j'avais visité un Londres un peu plus intimes et interlope, les monuments m'attendraient.
Elle m'appela un taxi et me confessa avoir apprécier ces dernières heures. La voiture partie, je me retournais et à travers la vitre, je la vit articuler « Ne m'oublies pas, reviens me voir! » et m'envoyer un baiser.
Quatre mois plus tard, je débutais une thèse à Londres, merci monsieur Erasmus. Elle m'hébergea...
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